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dc.contributor.authorLACHACHI, Chahinez-
dc.contributor.authorMESSOUADI, Aicha Rima-
dc.date.accessioned2023-12-20T09:03:19Z-
dc.date.available2023-12-20T09:03:19Z-
dc.date.issued2023-07-02-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-bouira.dz:8080/jspui/handle/123456789/15720-
dc.description.abstractL’objectif de notre travail consiste à isoler et identifier des champignons entomopathogènes à partir du sol de trois régions d’études et tester leur pathogénicité contre les larves de Culex pipiens. Après l’échantillonnage, nous avons analysé le sol de chaque échantillon pour estimer les paramètres physico-chimiques et discuter leur influence sur le développement et l’abondance des champignons isolés. L’isolement des champignons à partir des six sols agricoles a mis en évidence 17 isolats. Le genre le plus abondant est Aspergillus avec un taux de 23,56 % suivi par Penicillium sp avec un taux de 17,64 %, On a opté pour ces trois souches entomopathogènes Beauveria sp, Cladosporium sp avec un taux 5,88 % pour les deux genres et Verticillium sp avec un taux de 11,76%, puis nous avons fait le test de pathogénicité des champignons entomopathogènes vis-à-vis les stades aquatiques de Culex pipiens. Le nombre faible des champignons isolés est due au pH basique du sol qui est un facteur limitant de la croissance des champignons. Chez les larves du Culex pipiens traitées, on assiste à une diminution des mouvements puis une mortalité. Tout juste après la mort, les spores du champignon sont en adhésion sur la cuticule et d’autres en début de germination, D’après nos résultats nous avons constaté que la mortalité des larves évolue avec l’entomopathogène utiliser et la durée de traitement. En effet, nous avons aussi constaté que ces champignons agissent dès le premier jour du traitement. D’après les résultats de mortalité nous avons remarqué que la mortalité des larves traitées avec Cladosporium sp est plus rapide et intense par rapport à la mortalité des larves traitées avec les souches de Beauveria sp, Verticillium sp. Ces champignons entomopathogènes attaquent les larves de moustiques préférentiellement par le siphon respiratoire. C’est pourquoi ce germe tue davantage de moustiques lorsqu’il est appliqué à la surface de l’eau.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité de Bouiraen_US
dc.relation.ispartofseriesMaster 2;-
dc.subjectsolen_US
dc.subjectentomopathogènesen_US
dc.subjectisolementen_US
dc.subjectIdentificationen_US
dc.subjectlutte biologiqueen_US
dc.subjectCulex pipiens.en_US
dc.titleRecherche et identification des champignons entomopathogènes locales du groupe des hyphomycètesen_US
dc.typeTechnical Reporten_US
Collection(s) :Mémoires Master

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