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dc.contributor.authorDEMMOUCHE, Baya-
dc.contributor.authorLARACHI, Nadia-
dc.date.accessioned2019-10-10T15:10:44Z-
dc.date.available2019-10-10T15:10:44Z-
dc.date.issued2019-09-18-
dc.identifier.citationUniversité de Bouiraen_US
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-bouira.dz:8080/jspui/handle/123456789/5508-
dc.descriptionCe travail est reparti en deux parties ; la première partie aborde les organes génitaux les plus exposés aux infections génitales, ainsi que les germes les plus incriminés. La deuxième partie relate les étapes d'identification de ces germes spécifiques.en_US
dc.description.abstractAu cours de cette étude qui s’est déroulée dans le laboratoire médical SAYAH à BOUIRA, sur une période allant de février à Mai 2019, nous avons recueilli un total de 36 prélèvements. La mise en évidence des germes par tests immunologiques pour Chlamydia trachomatis, et tests biochimiques pour Mycoplasma hominis et Ureaplasma urealyticum. L’étude des infections génitales permet de déterminer la relation entre ces germes. L’absence de Chlamydia trachomatis révèle l’absence d’infection sexuellement transmissible à celle -ci. Ainsi divers facteurs favorisent l’infection tels que ; le sexe (les femmes prédominent sur les hommes avec un taux de 42.85 % et 18.18% respectivement), et l’âge (les patients ayant entre 30 et 40 ans sont les plus exposés a l’infection génitale)en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité de Bouiraen_US
dc.subjectInfections génitales, Chlamydia trachomatis, Ureaplasma urealyticum, Mycoplasma hominis, infection sexuellement transmissibleen_US
dc.titleIntérêt de la recherche de germes spécifiques «Chlamydia» et «Mycoplasme » dans les infections génitalesen_US
dc.typeOtheren_US
Collection(s) :Mémoires Master

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