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dc.contributor.authorLounici, Hakim-
dc.date.accessioned2019-11-28T12:55:28Z-
dc.date.available2019-11-28T12:55:28Z-
dc.date.issued2011-
dc.identifier.citationADOUR Lydiaen_US
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-bouira.dz:8080/jspui/handle/123456789/6652-
dc.description.abstractEn Algérie, pays nord Africain à climat semi-aride, la croissance démographique, le développement des agglomérations et la limitation des ressources en eaux souterraines, font que le pays a de plus en plus recours aux eaux superficielles provenant, principalement, des eaux de pluies et surtout de la fusion de blocs de neiges issus des régions montagneuses telles la Kabylie afin de satisfaire, en quantité suffisante, les besoins et les demandes des populations en eau potable. Depuis quelques années, une grande partie d’eau potable est produite à partir des retenues de barrages (dites des lacs réservoirs). Malheureusement, en raison de l’augmentation considérable des sources de pollutions, les retenues de barrages sont affectées par le phénomène d’eutrophisation. Ce dernier génère un certain nombre de problèmes de qualité que le producteur d’eau potable doit, malgré lui, affronter. Souvent, desen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisheruniversite de bouiraen_US
dc.titleLaboratoire des Biotechnologies Environnementales et Génie des Procédés (BIOGEP), Département de Génie de l’Environnement, Ecole Nationale Polytechniqueen_US
dc.typeArticleen_US
Collection(s) :Articles



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